• J'ai passé une semaine de vacances en Suisse alors qu'il était prévu que je fasse un trek qui allait du Tyrol (en Autriche) à la Bavière (Allemagne). En fait, j'ai bien démarré mon trek au Tyrol, mais au bout de 4 jours, je me suis fait une grosse entorse au genou, suite à une chute avec mon gros sac à dos sur les épaules. Je suis donc rentrée en France, chez ma mère en Bourgogne.

    Mais au bout de quelques jours, je n'avais quasiment plus mal au genou et il avait totalement désenflé. Ni une ni deux, mon ex-mari et moi sommes repartis... en Suisse, pays étranger le plus proche de chez ma mère. Nous sommes allés en Suisse allemande, entre autres vers Gstaad, et nous avons randonné !

    J'ai le souvenir d'un pays très vert, très propre, mais aussi très cher... 

    Suisse 1

    Les automobilistes roulent très prudemment même en rase campagne (il faut dire que là-bas, il y a des radars partout et que les PV sont salés), donc il ne faut pas calculer son temps de parcours avec nos vitesses moyennes habituelles.

    On ne peut pas dire que les Suisses soient les plus drôles de la terre, mais ce ne sont pas non plus les plus désobligeants. Et contrairement à ce qu'on pourrait penser, ils savent faire la fête. Depuis 4 ans, comme mon compagnon habite à 40km de Genève, je retourne très souvent dans cette ville, et les animations, très souvent gratuites et donc accessibles à tout le monde, peuvent durer assez longtemps (la fête de la musique dure un week-end complet, la fête du lac dix jours).

    Il est très agréable de prendre un bateau pour longer les côtes du lac Léman (surtout, ne jamais dire "lac de Genève", ça peut froisser) et faire escale dans les villes où les clochers des églises sont à bulbe. 

    La population de Genève est vraiment cosmopolite, on y entend parler toutes les langues.

    Qui sait, un jour j'irai peut-être travailler là-bas...


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  • Ah la Thaïlande... J'ai toujours regretté de l'avoir visitée "pas comme il fallait". 

    A l'époque, je n'étais pas attirée par l'Asie, mais le Comité d'entreprise où je travaillais proposait un circuit dans ce pays à un prix défiant toute concurrence. Je me suis dit que c'était l'occasion d'y aller et me suis inscrite pour un périple de 10 jours entièrement organisé et en bus. Et c'est là le hic. J'ai passé plus de temps dans les bus que dans les sites et les villages. De plus, j'étais entourée de collègues qui ne pensaient qu'à faire du shopping à bas prix. Et, cerise sur le gâteau, nous avons eu des intempéries qui ont provoqué des inondations et ont chamboulé notre programme, des routes ayant été coupées.

    Enfin, j'ai quand même pu apprécier la  la beauté des temples et la gentillesse des Thaïlandais. 

    Thaïlande


    Nous avons pu séjouner une journée en bord de plage, mais heureusement, une plage fréquentée par les locaux, sans autres touristes. C'était assez amusant de voir les marchands ambulants nous proposer de petits en-cas délicieux qui coûtaient trois fois rien. On a grignoté tout l'après-midi, comme les Thaïlandais !

     

    Nous avons aussi fait une promenade en éléphant. C'était une première pour moi, et j'avoue que j'ai eu assez peur dans la partie où j'étais à califourchon sur le cou de la bête, avec, pour me tenir, juste une prise pour les mains sur la peau rugueuse et poilue de l'animal.

    La cuisine thaïlandaise fait partie des meilleures au monde (attention, je n'ai pas dit LA meilleure). A chaque repas nous avions un choix incroyable de plats posés sur la table et nous avons pu goûter à toutes les spécialités existantes, je crois.

    Ce qui m'a frappé, notamment à Bangkok, c'était la proportion de jeunes quasiment égale à 80% de la population. Il n'était pas rare de voir un scooter avec tout une famille nombreuse dessus. Bangkok est polluée et la circulation est compliquée. Je me rappelle aussi la promenade en bateau dans les "klongs", une zone populaire pauvre où les gens vivent quasiment dans l'eau.

    La Thaïlande reste aujourd'hui le seul pays d'Extrême-Orient que je connais. Il faudra bien que j'approfondisse un jour la visite de cette zone du monde, mais cette fois-ci, à la routarde !


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  • J'avais quelques craintes à aller aux Baléares car pour moi, ces îles étaient synonymes de grands hôtels en bord de mer  sans rien d'autre à voir que les plages. Or, le centre UCPA où j'étais hébergée était au nord de l'île de Majorque, dans une zone très sauvage et sans hôtel.

    Majorque.jpgJ'y ai pratiqué plusieurs sports différents (randonnée, vélo, kayak, cheval...), qui m'ont permis d'apprécier des points de vue, notamment de belles criques. Nous n'avons pas rencontré beaucoup d'habitants, la zone étant peu peuplée.

    Le dernier jour, nous avons tout de même visité Palma, au Sud, et là ce fut un choc culturel : plages pleines de monde et hôtels collés les uns aux autres. Nous avions l'impression de ne plus être sur la même île !

    Je n'ai malheureusement pas d'autres souvenirs de cette semaine de vacances, qui fut relativement tranquille, quoique sportive. 

    En conclusion, si vous allez aux Baléares, ne vous trompez pas entre le Nord et le Sud !


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