• Je suis allée trois fois en Grande-Bretagne : en 1998 dans la banlieue de Londres, pour une semaine d'immersion dans le siège social de l'entreprise où j'étais employée, en 1996 à Edimbourg pour une journée de travail, et en 1978 dans le cadre d'un échange avec une "correspondante" anglaise, dans une petite ville du Hertfordshire.

    D'Edimbourg, je me rappelle seulement être passée en voiture devant son joli château et avoir profité d'un succulent dîner d'affaires. Ce ne sont donc pas des souvenirs très palpitants, mais j'ai été surprise de bien manger car mon 1er séjour en 1978 m'avait laissée affamée quasiment chaque jour (j'ai particulièrement été traumatisée par une crème à la vanille qui était... bouillante et un dîner très léger pris à 17h).

    En 1978, c'était mon premier voyage à l'étranger hors cadre familial (mais mon père, qui n'était pourtant pas instit, était l'un des accompagnateurs de notre groupe d'élèves). J'étais hypermotivée pour pratiquer mon anglais fraîchement appris à l'école (j'avais 14 ans), mais j'ai vite déchanté. Il m'a fallu une semaine avant de comprendre ce que la famille de ma correspondante me disait.

    Je me rappelle très bien la visite à Londres, notamment les magnifiques joyaux royaux, Big Ben et les pittoresques bus rouges à double-étage qui m'ont enchantée. Mais je n'ai pas accroché avec la culture anglo-saxonne*.

    Je ne me sentais pas très à l'aise parmi les lycéens anglais, ni dans la famille qui m'hébergeait. Ma correspondante était assez délurée alors que moi, j'étais assez godiche, il faut bien le reconnaître. Nous n'avions pas grand chose à nous dire, un comble quand le but du voyage était de pratiquer l'anglais...

    *Ce peu d'affinité avec la culture anglo-saxonne s'est confirmé lors de mon dernier voyage professionnel. Franchement ce n'est pas très facile de travailler avec des Anglais.

    Pour moi, ce pays manque de soleil et de gaîté, je ne pense pas que j'y retournerai, pour le tourisme du moins.


    1 commentaire
  • Mon principal souvenir des Canaries ? Le noir. Je m'explique : des Canaries je ne connais que l'île volcanique de Lanzarote. Et cette île est...noire. Toute noire. La vraie incarnation, si je puis dire, d'un paysage lunaire. L'île est un immense volcan où quasiment rien ne pousse, sauf quelques buissons et de la vigne.

    img099Deuxième souvenir : le vent. Ce n'est pas pour rien qu'on trouve des spots de planche à voile là-bas.

    Pas de végétation, du vent, du noir, pas grand chose à voir d'intéressant (ça a peut-être changé depuis) : vous aurez vite compris que cette île ne m'a pas laissé un souvenir impérissable...


    votre commentaire
  • J'ai souvent eu des Belges avec moi dans les groupes de randos, et j'ai trouvé la plupart fort sympathiques. Alors je suis allée voir à quoi ressemble ce pays ! Je ne connais que Bruges et Mons. Pourquoi Mons ? Parce qu'ayant fait des études à Lille, j'y ai fait quelques virées pour acheter des chocolats (autant vous dire que je ne connais rien de cette ville sinon les chocolatiers).

    img095.jpgQuant à Bruges, je lui ai consacré un week-end prolongé de la Toussaint. Les couleurs des arbres étaient flamboyantes dans les parcs. Il faisait incroyablement beau et doux, nous pouvions rester assis aux terrasses des cafés. Bien sûr nous avons goûté aux spécialités locales : waterzoï, carbonnade, moules-frites et la bière ! Comparée à la cuisine française, thaïlandaise, indienne ou péruvienne, il est évident que la cuisine belge n'est pas à la hauteur, mais on se régale quand même.

     

    A Bruges, de nombreux bâtiments de style gothique jalonnent la ville, ils sont vraiment imposants.

    Les canaux apportent une touche romantique. C'est vraiment la petite Venise du Nord.

    Bon, quand est-ce que j'y retourne ?


    votre commentaire