• En mai, direction Corfou pour 10 jours !


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  • L'arrivée en Crète fut mouvementée. J'étais avec une copine, nous avions une escale à Athènes et nous prenions tout notre temps. Nous avions juste oublié qu'il y avait un décalage horaire d'une heure entre la Grèce et la France... et nous avons loupé notre correspondance. Nous avons eu la chance de pouvoir prendre l'avion suivant, mais nous sommes arrivées à Héraklion un peu honteuses d'avoir fait attendre jusqu'à plus de 20h le loueur de voitures auprès duquel nous avions réservé un véhicule.

    Nous avons trouvé les Crétois (masculins) très collants ; c'était assez insupportable de ne pas pouvoir adresser la parole à un Crétois sans se faire draguer... A part ça, nous avons apprécié l'ïle, qui n'était pas encore envahie de touristes. Mais le nombre de grands hôtels qui se construisaient nous faisaient craindre le pire.

    Le temple de Knossos à Héraklion est imposant par sa grandeur. Nous avons beaucoup apprécié la randonnée dans les gorges de Samara : pouvoir marcher au fond du canyon entourées de parois oranges est inoubliable. Et les baignades dans les petites criques encore sauvages étaient reposantes.

    En ce temps-là, la Créte était encore paisible.


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  • La Grèce est le seul pays que j'ai visité avec à la fois des amies et de la famille (soeur et beau-frère). Je me suis rapidement rendu compte qu'il n'était pas toujours facile de mettre tout ce beau monde d'accord...

    img164.jpgJe ne connais pas le nord de la Grèce, n'ayant visité que le Péloponnèse et certaines îles des Cyclades. Je me rappelle que Delphes et Epidaure, ainsi que l'île de Santorin, m'avaient particulièrement impressionnée. Delphes et Epidaure, par la très bonne conservation des sites, et Santorin par ses falaises.

    Nous avions choisi de visiter les Cyclades en caïque (petit bateau rustique). Mal nous en prit, car nous avons essuyé 3 jours de tempête qui nous ont immobilisés dans une petite île où il n'y avait pas grand chose à voir. Le matin du 3è jour, comme il fallait rentrer à Athènes pour reprendre l'avion, nous avons dû naviguer au péril de notre vie (jamais je n'ai eu aussi peur en bateau, les creux des vagues étaient effrayants)... et de notre estomac.

    En Grèce, les touristes étaient un peu considérés comme des vaches à lait, il fallait faire très attention à ne pas se faire arnaquer. C'était une atmosphère assez déplaisante. Quant à la nourriture, elle était peu variée (salade de tomates /olives / feta + brochettes était le menu le plus fréquent).

    Je ne sais pas si la crise a changé complètement l'atmosphère de ce pays, mais en tout cas, la Grèce ne m'a pas laissé d'excellents souvenirs, si ce n'est la chaleur et le soleil !


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